Prenons le cas d'un gaz parfait:
. Donc
, d'où les relations de Mayer:
| (1.15) |
| (1.16) |
On introduit d'ordinaire le coefficient
par:
![]() |
(1.17) |
En outre, on remarque
. On vérifiera aisément, à partir des deux dernières relations, que:
Ces deux relations nous serviront par la suite dans les calculs d'entropie.